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Hommec

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25 janvier 2008

Douceurs...

...roses crèmeuses fondant sous la langue...boule de saveur aux reflets nacrés...lisse comme le suc huileux dont elle est enrobée...à gober...permissions de goûts savanes...parfums de fauves salés sucrés...effluves chaudes aux jours comptés...visions fruitées et frissons carnés...tel l'horloger maître en complications...ne serait-ce pas là l'art du nez et du goût...?...pour d'infinies saveurs de vivre...

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21 janvier 2008

Compliqué...

Je suis compliqué...oui...et alors...

17 janvier 2008

Retard...

Si j'étais moi, je laisserais tout dire, tout faire... j'aime tant la liberté. Ou la paresse. Mais bien évidemment dès que j'entre en relation, cette liberté est égratignée. Ou ma paresse mise à l'épreuve. Ce matin il était, une fois de plus, en retard. Il n'a rien dit, s'est glissé à sa place, comme s'il n'allait pas être vu, ou peut-être qu'il pensait qu'après tout celà n'avait pas d'importance. Mais son voisin, par ailleurs apprenant, a dû réaliser en 2 heures ce que deux peronnes auraient fait en trois heures. La responsabilité demande l'exercice de l'équilibre. Foin de paresse !

16 janvier 2008

Douceur d'être...

Tout devient si doux lorsqu'on ne cherche plus à comprendre...

14 janvier 2008

Hercule, bientôt le retour...

Bonne nouvelle: j'ai amené Hercule pour un service complet. On ne devrait jamais oublier ses potes.

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14 janvier 2008

Images...

Si tu vis des images, qui es-tu ?
Un égoiste au plaisir secret ?
Un hédoniste muet ?
Tu te plaits dans les images, le savais-tu ?

Si souvent pour exprimer l'amour,
Le jeux des mots se fait images,
Les phrases claires ne sont que mirages,
Et les syllabes, de nuits, comme de jours.

Dis-moi un peu, où est ton bonheur ?
Ta pensée, sait-elle rebondir ?
Et ton sourire, peut-il jaillir ?
Et ta gorge, sent-elle gonfler ton coeur ?

Il n'est pas deux portes à la même clef,
Dans cet espace, que lentement tu ouvres
Deux clefs suffiront, pour que je te découvre,
La tienne, la mienne, jusqu'à satiété.

2 janvier 2008

Orythme...

Il y a des mots que l'on invente...c'est si facile...j'aimerais percer le mystère du blog...même si le mot est trop vilain. Point. Lorqu'on s'écoute moins, soi-même, on écoute davantage les autres, eux-mêmes. Mais si l'on écoute trop les autres, eux-mêmes, on finit par se perdre à vouloir se faire entendre, soi-même. J'aime tant le tam tam. Le tempo. Tendre et détendre. Dire et entendre. Y aurait-il un verbe pour qualifier l'action d'intuition ? Où bien est-ce par définition un non-sens, que d'attendre une réponse à l'empathie ? EgoIsthme...

2 janvier 2008

Les petits planeurs en papier...

Blanche page...et petits points...ces petits points, c'est en somme une façon de petite chanson...reliés par des mots, de ces petites mélodies que l'on fredonne, pour soi, berceuses de l'âme...les petits points...petites notes en suspension...vers d'autres mélodies, d'autres mots, qui disent ce qu'on est...et colorent la page...lui donnne un sens, peut-être...ou produisent un effet...que l'on a pas choisi, qui se dessine au fil de la mélodie...raisonne, peut-être...dans le coeur d'autres yeux...qui rendent un écho...confortent...comparent...affirment...s'inspirent...se disent...autant de petites découvertes....et la page en devient moins blanche...se transforme en feuille de mots...il est temps de la plier...lui donner la forme d'un de ces petits planeurs...et la lancer...en ne voyant pas exactement où elle va se poser...avec l'espoir, déjà, de la voir revenir, comme par enchantement, augmentée d'un petit message...porteuse de sa propre aventure...séparée de soi, puis augmentée d'un autre...je me suis toujours appliqué lorsque je confectionnais les petits planeurs en papier...

29 décembre 2007

L'enfant...

Elle est là...innocente...chante joyeuse...son regard est curieux...vif à tout. Elle a l'insoucience de l'enfant heureuse. Craint de s'ennuyer parfois. Mais toujours trouve quelque astuce, quelque motif d'engager un jeu. Son image est telle la fraîcheur, telle la candeur, telle la malice qui est le début du risque, de la tentative, de l'observation. Mais très vite elle se replie, trouve le bon mot pour garder la face et son indépendance. Et repart sur une autre idée, un autre petit rythme vif et lumineux. Elle est la poésie. Ses sons et ses gestes répondent aux frissons du vent, aux battements des mots, aux élans de son imagination. Elle est confiante. Loyale. Née pour vivre. Grandir. Devenir. Elle est comme des centaines de millions, à protéger, éternellement. Trop souvent les enfants sont maltraités.

25 décembre 2007

Hercule...

Hercule, c'était mon robot ménager. Un jour, il a lâché. Panne technique. Et depuis ce jour, bien des choses ont changé...

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